Le Christ disparaît. C’est en priant que nous allons vers lui, même si c’est toujours d’en bas. Ses pieds que l’on peut apercevoir semblent indiquer que nous montons vers lui en nous inclinant vers le prochain pour le servir, pour lui laver les pieds (Benoît XVI).
Marie, Mère de l’Eglise, est là, revêtue de charité comme l’indique son vêtement, proche des apôtres dont Jésus a fait ses témoins, envoyés dans le monde entier.
Le souffle de l’Esprit les accompagne, présence invisible mais certaine, suggérée par la décoration.


En ce temps-là,
Jésus ressuscité, apparaissant à ses disciples,
leur dit :
« Il est écrit que le Christ souffrirait,
qu’il ressusciterait d’entre les morts le troisième jour,
et que la conversion serait proclamée en son nom,
pour le pardon des péchés,
à toutes les nations,
en commençant par Jérusalem.
à vous d’en être les témoins.
Et moi, je vais envoyer sur vous
ce que mon Père a promis.
Quant à vous, demeurez dans la ville
jusqu’à ce que vous soyez revêtus
d’une puissance venue d’en haut. »
Puis Jésus les emmena au dehors, jusque vers Béthanie ;
et, levant les mains, il les bénit.
Or, tandis qu’il les bénissait,
il se sépara d’eux
et il était emporté au ciel.
Ils se prosternèrent devant lui,
puis ils retournèrent à Jérusalem, en grande joie.
Et ils étaient sans cesse dans le Temple
à bénir Dieu.