Je suis la porte des brebis nous dit Jésus. Par sa mort et par sa résurrection, il nous a donné accès auprès du Père. Il est la porte pour entrer dans la bergerie et, en même temps, il est le pasteur. Par lui, Jésus et par sa Pâque qui est mort et vie, nous pouvons avoir la vie en surabondance, rejoindre le cœur de Dieu.
J’ai encore d’autres brebis…dit encore Jésus qui nous appelle à lui ressembler pour devenir les pasteurs, les bergers les uns des autres.
En bordure du texte, apparaissent les gras pâturages, verdoyants et fleuris.

En ce temps-là, Jésus déclara: « Amen, amen, je vous le dis : celui qui entre dans l’enclos des brebis sans passer par la porte, mais qui escalade par un autre endroit, celui-là est un voleur et un bandit.
Celui qui entre par la porte, c’est le pasteur, le berger des brebis.
Le portier lui ouvre, et les brebis écoutent sa voix. Ses brebis à lui, il les appelle chacune par son nom, et il les fait sortir.
Quand il a poussé dehors toutes les siennes, il marche à leur tête, et les brebis le suivent, car elles connaissent sa voix.
Jamais elles ne suivront un étranger, mais elles s’enfuiront loin de lui, car elles ne connaissent pas la voix des étrangers. »
Jésus employa cette image pour s’adresser à eux, mais eux ne comprirent pas de quoi il leur parlait.
C’est pourquoi Jésus reprit la parole : « Amen, amen, je vous le dis : Moi, je suis la porte des brebis.
Tous ceux qui sont venus avant moi sont des voleurs et des bandits ; mais les brebis ne les ont pas écoutés.
Moi, je suis la porte. Si quelqu’un entre en passant par moi, il sera sauvé ; il pourra entrer ; il pourra sortir et trouver un pâturage.
Le voleur ne vient que pour voler, égorger, faire périr. Moi, je suis venu pour que les brebis aient la vie, la vie en abondance.